Ce qu’on ne peut dire et ce qu’on ne peut taire, la musique l’exprime.
Le silence est souvent la plus haute sagesse de l'homme.
Parle si tu as des mots plus forts que le silence, ou garde le silence.
Tout ce qui peut être dit peut être dit clairement, et sur ce dont on ne peut parler, il faut garder le silence.
Le silence est le sanctuaire de la prudence.
Le reste est silence.
Le silence du sage est un prompt refus de ce qu’on lui demande.
Le silence est le sommeil qui nourrit la sagesse.
La plus grande révélation est le silence.
Le talent se développe dans la retraite; Le caractère se forme dans le tumulte du monde.
L'absurde naît de cette confrontation entre l'appel humain et le silence déraisonnable du monde.
En temps de guerre la loi se tait.
Un silence abrupt au milieu d'une conversation nous ramène soudain à l'essentiel : il nous révèle de quel prix nous devons payer l'invention de la parole.
Mon cœur est en repos, mon âme est en silence.
Rien ne rehausse l'autorité mieux que le silence, splendeur des forts et refuge des faibles.
Les gens vains ne peuvent être habiles, car ils n'ont pas la force de se taire.
Le silence est le parti le plus sûr de celui qui se défie de soi-même.
Quand le regard ou la voix parle, alors la parole se tait.
Le silence et la réflexion épuisent les passions, comme le travail et le jeûne consomment les humeurs.
Nos vies commencent à finir le jour où nous devenons silencieux au sujet des choses qui importent.
Les soucis légers sont bavards, les grands sont silencieux.
La parole ne représente parfois qu’une manière, plus adroite que le silence, de se taire.
Ô vertu ! science sublime des âmes simples, faut-il donc tant de peines et d'appareil pour te connaître ? Tes principes ne sont-ils pas gravés dans tous les cœurs ? et ne suffit-il pas pour apprendre tes lois de rentrer en soi-même et d'écouter la voix de sa conscience dans le silence des passions ? Voilà la véritable philosophie.
Il est bon de parler, et meilleur de se taire.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Mais l’amour infini me montera dans l’âme.
Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie.
Un silence, voilà qui est suffisant pour expliquer un cœur.
Les grandes âmes souffrent en silence.
J’écrivais des silences, des nuits, je notais l’inexprimable. Je fixais des vertiges.
Photo en arrière-plan de Stanislav Kondratiev sur Unsplash
Vous, chênes, héritiers du silence des bois, Entendez les soupirs de ma dernière voix.