Au fond de tout patriotisme il y a la guerre : voilà pourquoi je ne suis pas patriote.
Douce chose, la guerre, aux inexperts, mais qui l'a éprouvée frémit à son approche en son cœur au plus haut point.
Il n'y a jamais eu de bonne guerre ni de mauvaise paix.
Tout ce qui travaille au développement de la culture travaille aussi contre la guerre.
La guerre n'est pas une aventure. La guerre est une maladie. Comme le typhus.
La guerre est un mal qui déshonore le genre humain.
En temps de guerre la loi se tait.
… Et c'est là, pour ma part, le but auquel je tendrai toujours, extinction de la misère au dedans, extinction de la guerre au dehors.
Cela fait des années que les humains parlent de guerre et de paix. Mais aujourd'hui, ils ne peuvent plus juste en parler. Le choix n'est plus entre la violence et la non-violence. C'est soit la non-violence, soit la non-existence.
Ce n'est pas victoire, si elle ne met fin à la guerre.
Il faut prévoir en temps de paix ce qui est utile en temps de guerre.
Quand les riches se font la guerre, ce sont les pauvres qui meurent.
Il y a deux choses qu'un peuple démocratique aura toujours beaucoup de peine à faire : commencer la guerre et la finir.