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Le bien n'est pas à contempler ; Il est à faire.






Ce n'est pas être bon que d'être meilleur que le plus mauvais.






Il ne s'agit plus de discourir sur ce que doit être l'homme de bien mais de devenir un homme de bien.






Nos actions ne sont ni si bonnes ni si vicieuses que nos volontés.






Le mieux est le mortel ennemi du bien.






Que de loisirs il gagne celui qui ne regarde pas à ce qu'a dit le voisin, à ce qu'il a fait, à ce qu'il a pensé ; mais à ce qu'il fait lui-même, afin que son acte soit juste, saint et absolument bon.






Lorsqu’un bien ou un mal est incertain, il fait naître la crainte ou l’espérance, l’une et l’autre en proportion du degré d’incertitude.






Les passions sont toutes bonnes de leur nature et nous n'avons rien à éviter que leur mauvais usages ou leurs excès.






Il me semble que la vertu est chose autre et plus noble que les inclinaisons à la bonté qui naissent en nous.






La vertu est la route la plus courte vers la gloire.






Lorsqu’un bien est certain, ou fort probable, il produit la joie ; le mal qui se trouve dans le même cas, excite la tristesse, ou le chagrin.






On a parfaitement défini le bien quand on a dit qu'il est l'objet de tous les vœux.






L'homme est naturellement bon et c'est la société qui le déprave.






La première règle avant d'agir consiste à se mettre à la place de l'autre. Nulle vraie recherche du bien commun ne sera possible hors de là.






Je ne cherche en aimant que le seul bien d'aimer.






Nos impulsions et nos répulsions sont respectivement conditionnées par le bien, l'utile, l'agréable, pour les premières ; pour les secondes, par ce qui est honteux, nuisible, pénible.






Être bon à l'égard des bons et bon aussi envers ceux qui ne le sont pas, c'est posséder la bonté même.






Presque tous nous fauchons en herbe les biens qui nous auraient été de riches moissons.






La liberté, ce bien qui fait jouir des autres biens.






Voulez-vous qu'on croie du bien de vous ? N'en dites pas.






Quelque bien qu'on dise de nous, on ne nous apprend rien de nouveau.






Les manières, que l'on néglige comme de petites choses, sont souvent ce qui fait que les hommes décident de vous en bien ou en mal.






En général, les biens provenant du hasard sont ceux qui provoquent l'envie.






Nous avons grand tort de penser que quelque défaut que ce soit, puisse exclure toute vertu, ou de regarder l’alliance du bien et du mal comme un monstre ou comme une énigme ; c’est faute de pénétration que nous concilions si peu de choses.






La beauté, c'est l'harmonie du hasard et du bien.






Or, de toutes les sciences que l’homme peut et doit savoir, la principale, c’est la science de vivre de manière à faire le moins de mal et le plus de bien possible ; et de tous les arts, celui de savoir éviter le mal et produire le bien avec le moins d’efforts possible.






On a tort cependant de craindre la supériorité de l'esprit et de l'âme : elle est très morale cette supériorité ; car tout comprendre rend très indulgent, et sentir profondément inspire une grande bonté.






Faire tout le bien qu'on peut,
Aimer la Liberté par-dessus tout,
Et, quand ce serait pour un trône,
Ne jamais trahir la vérité.







Il n'y a rien de bon ni de mauvais sauf ces deux choses : la sagesse qui est un bien et l'ignorance qui est un mal.






Il n'y a point de mal dont il ne naisse un bien.










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