C'est par l'esprit que l'homme se sauve, mais c'est par l'esprit que l'homme se perd.
L'homme est un animal raisonnable qui se met régulièrement en colère lorsqu'on lui demande d'agir en accord avec les préceptes de la raison.
Car tel est l'homme : accablé de ses propres malheurs, il a dans un instant oublié les maux de ses semblables.
L'homme n'est point né méchant ; il le devient, comme il devient malade.