N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis. Vous devrez rester vigilantes votre vie durant.
On ne naît pas femme : on le devient.
En tant que femme je n'ai pas de pays, en tant que femme je ne désire pas de pays, mon pays c'est le monde entier.
Personne n'est plus arrogant envers les femmes, plus agressif ou méprisant, qu'un homme inquiet pour sa virilité.
Je ne peindrai plus d'intérieurs et les gens en train de lire, et les femmes à leur tricot. Je peindrai des êtres qui respirent, sentent, souffrent et aiment.
Il y a des citoyens, il n'y a pas de citoyennes. C'est là un état violent ; il faut qu'il cesse.
C'est par le travail que la femme a en grande partie franchi la distance qui la séparait du mâle ; c’est le travail qui peut seul lui garantir une liberté concrète.
Quand une femme a appris à lire, la question de la femme s'est posée au monde.
C'est en faisant bien l'homme, ou la femme, qu'on aide l'humanité à se faire. Et il le faut : elle a besoin de toi, comme tu as besoin d'elle !
C’est au sein du monde donné qu’il appartient à l’homme de faire triompher le règne de la liberté; pour remporter cette suprême victoire il est entre autres nécessaire que par delà leurs différenciations naturelles hommes et femmes affirment sans équivoque leur fraternité.
Les femmes se forgent à elles-mêmes les chaînes dont l’homme ne souhaite pas les charger.